Depuis le début de la crise sanitaire, l’Union Dentaire se bat pour que vous ayez les meilleures conditions pour envisager le présent et l’avenir. Force est de constater qu’il y a un grand absent au milieu de la pagaille actuelle : les compagnies d’assurance. Se cachant derrière le fait que le CoVid-19 et la pandémie n’étaient pas inclus dans nos contrats, elles refusent toute négociation, ont un pouvoir d’influence important sur nos représentants nationaux et, de manière bassement matérielle, continuent d’effectuer certains prélèvements alors que nous n’avons plus de revenus.
Nous sommes indignés du rôle que n’assument pas les compagnies d’assurance et que les représentants nationaux relaient alors que leurs concitoyens et électeurs se retrouvent dans une situation extrêmement compliquée.
L’Union Dentaire propose donc deux mesures à nos élus et à nos compagnies d’assurancequi permettraient aux assureurs de justifier leur existence lors de cette pandémie :
- un régime d’arrêt de travail spécifique (sans être malade) semblable à celui des arrêts pour garde d’enfants. La durée serait calquée sur celle du confinement et rétroactive. Avec pour date d’entrée dans ce régime, la date de début du confinement ou a minima la date du Communiqué de Presse du Conseil National de l’Ordre des Chirurgiens-Dentistes demandant la fermeture des cabinets.
- un arrêté particulier pour les Professionnels de Santé libéraux qui permettra la prise en charge de cette période de suspension d’activité.
Sans cela, il faudra sérieusement repenser l’après-crise et les engagements que nous avons auprès de ceux qui n’assumeraient leur part dans cette crise.
Lire la lettre ouverte aux assureurs et à nos représentants nationaux
Lire l’interview de la députée Valéria Faure Muntian dans l’Argus de l’Assurance en cliquant ici
Lire la tribune de Florence Lustman, Présidente de la Fédération Française des Assurances, en cliquant ici
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